A croire que c'est une habitude dans l'art contemporain d'associer mode, luxe, éphémère, mort et violence. J'imagine que quelques uns d'entre vous on découvert il y a peu de temps le travail de cet artiste photographe Massimo Gammacurta au travers de la série de sucettes monogrammées Chanel, Gucci, Louis Vuitton et Yves Saint Laurent. J'ai voulu en savoir plus sur lui et je suis tombé avec surprise devant une autre de ses séries de photos et là stupeur et tremblement, je me suis retrouvé projeté en arrière de quelques mois quand je vous présentais les armes de Peter Gronquist et la tronçonneuse de Tom Sachs. Pour info voilà un backlink.

Le travail de Gammacurta est esthétique, étrange, fait de compositions de produits de maquillage et autres accessoires de marques de luxes. Des pistolets, des bombes, des grenades. Quand on y pense c'est d'une violence terrible.

Même si je suis contre la trop grande intellectualisation de l'art, j'avoue qu'associer les marques de luxes, cosmétiques, textiles et autres à des notions très négatives provoque en mois un sentiment étrange de curiosité malsaine. En tout cas suffisamment pour que je décide de vous en parler aujourd'hui. J'ouvre volontiers le débat avec les passionné(e)s d'art contemporain pour en comprendre le cheminement intellectuel.

Si vous voulez découvrir les autres facettes du travail de Massimo Gammacurta, vous savez ce qu'il vous reste à faire, cliquez ici.