Si je reprends les faits réels, tout a commencé par un twitt il y a quelques semaines relayant l'information suivante, Bernard Arnault souhaitait relancer un malletier français, dont l'origine de la marque remonterait à 1849, soit avant la création de Louis Vuitton. Elle s'appelle Moynat. Les choses se sont accélérées la semaine passée, avec l'ouverture samedi dernier de la boutique au 348 de la rue Saint-Honoré.
Mais depuis plus rien, pas une info, pas une photo ou presque n'a circulé. À croire que même les journalistes n'étaient pas invités, ou alors de façon ultra sélect ! Le plus étonnant dans cette histoire c'est que même au sein de la grande maison peu de personnes savent. Je suis surpris qu'aucune blogueuse ne se soit rendue à la boutique pour prendre des photos des premiers produits présentés.
Faisant un peu de veille pour vous, je cherchais depuis 2 ou 3 jours l'éventuelle mise en ligne du site, bien m'en a pris puisque en fin d'après-midi, moynat.com a fait son apparition dans mes recherches google alors qu'il ne l'était pas encore hier (avant hier quand vous lirez mon billet), ainsi que le compte twitter @Moynat. Modeste victoire, hormis deux très belles photos, pour le moment il n'y en a pas plus. Patience, patience pour enfin tout savoir sur Moynat.
En attendant, si vous voulez comprendre la génèse de ce projet très secret sur le futur concurrent de Hermès et Goyard, je vous recommande l'article de Sophie Lécluse sur le site de la Tribune.