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Hermès, quand les vitrines s’exposent
La Ville de Poitiers imagine en 2016 Le Miroir, un concept entre plateforme de diffusion et projet culturel. Une initiative ouverte à l’expression visuelle sous toutes ses formes, établissant des passerelles entre les arts, les formes, les démarches créatives et les époques. L’accent est mis sur les arts décoratifs, la mode, l’artisanat, le luxe, le design, le graphisme, la bande dessinée, la photographie, la vidéo… à ce titre la Chapelle Saint-Louis de Poitiers accueillera du 19 juin au 18 septembre prochain « Le petit théâtre de la démesure, exposition des vitrines d’Antoine Platteau pour la maison Hermès »… dans sa programmation inaugurale du Miroir de la Ville.
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Dymant dynamite le luxe avec ses précieuses capsules
David Klingbeil a été l’un des fondateurs du blog webluxe, à plusieurs reprises nous avons eu le plaisir de nous croiser sur différents évènements influencés par le luxe. Fort de cette expertise, il a décidé il y a quelques années de bousculer les codes de cet univers sur internet en lançant un e-store innovant, Dymant. Il a pris un pari ambitieux mais très intéressant pour Dymant, proposer des créations originales entièrement fabriquées par des artisans en France, un « made in France » aujourd’hui précieux et porteur de valeurs pertinentes d’un point de vue international et national, sous forme de capsules mensuelles, à (re)découvrir dès maintenant sur Soblacktie.
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La fille du week-end Anais Mali par Benny Horne pour Vogue Spain
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Hom Nguyen, Sans repères
Les dernières semaines ont été compliquées en terme de publication sur Soblacktie, oui je le sais, mais cela ne m’a pas empêché d’être attentif à l’actualité sur des domaines qui me sont chers. Je peux prendre un peu de recul, m’absenter, mais la mode, le luxe, la culture et mêmes les problèmes du monde, ils sont nombreux en ce moment, n’échappent pas à ma curiosité. Avec vous aujourd’hui, je voulais évoquer les dernières créations de Hom Nguyen. En matière d’art, mes réactions sont très souvent primaires, basées sur un choc esthétique, une émotion artistique très organique, mais je dois admettre que la plus infime contemplation ne peut pas se faire sans une intervention cérébrale, tout simplement parce que notre cerveau analyse l’image avant même que nous la voyons… laissons libre cours à nos sensations, avec ou sans repère(s).