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Elle l'était hier, elle est en train de le redevenir aujourd'hui très rapidement, Moynat, une marque incontournable du luxe à la française avec cette touche inimitable du chic et du charme parisien. Paradoxalement, la renommée de Moynat passe d'abord par une reconnaissance à internationale avant la nationale... nul n'est prophète en son pays... encore une fois ! Et Moynat d'ouvrir pour la première fois de son histoire une seconde boutique, oui mais à l'international, à Londres pour être précis.
Avec plus ou moins de succès, l'énorme avantage de l'Angleterre sur la France, c'est leur passion intacte pour l'industrie et la chose automobile. Il est vrai que les marques les plus luxueuses et les plus prestigieuses appartiennent à de grands groupes internationaux mais il subsiste un nombre très important d'artisans constructeurs qui continuent de véhiculer une image positive de la voiture de sport et de prestige. Nouveau venu sur ce créneau, l'entreprise David Brown Automotive qui nous présentera au printemps prochain son premier modèle le "Project Judi".
Nous avions de longue date avec Moynat prévu de nous retrouver autour d'une visite de leurs ateliers, d'abord dans le quasi "sud" et puis finalement nous nous sommes entendus sur une découverte du dernier né, leur atelier parisien discrètement situé non loin de la boutique de la Rue du Faubourg Saint-Honoré. C'est un endroit secret ! Et ne cherchez pas je ne vous donnerai pas l'adresse.
L'année a été très riche pour Moynat, plusieurs courts métrage, un renforcement des liens qui unissent la marque avec la théâtre, des nouveautés, des collaborations toujours aussi prestigieuses, l'ouverture à l'automne d'une boutique éphémère aux Galeries Lafayette et un très grand voyage au Japon. Ce voyage lointain était à mon avis une mise en bouche pour l'année 2014, je sais que de très beaux projets sont en prévision... mais je ne vous en dirais pas plus. Pour son exposition japonaise, Moynat n'était pas arrivée les mains vides, elle avait dans ses bagages une étrange malle, ronde comme un macaron !
Moynat brûle les planches de l'actualité luxe cette semaine en se rapprochant toujours un peu plus des liens qui unissent la marque avec l'univers du théâtre... une relation forte qui remonte à 1880 lorsque Pauline Moynat se lie d'amitié pour Réjane, comédienne française phare de la Belle-Époque. Montons sur scène avec Moynat pour connaître plus en détail le script de cette semaine.
Cela va faire plus d'un an que je n'ai pas tapé dans une balle de golf et cela me manque ! Mon premier sport c'est le tennis et je peux raisonnablement penser que mon deuxième c'est le golf. Une implication suffisante pour vous dire, c'est étrange je trouve mais c'est peut être lié à sa fonction, que dans une série de clubs de golf (pas l'endroit mais l'accessoire pour jouer), c'est sûrement pour le putter qu'on a le plus d'affection. À partir de ce constat je ne trouve pas étonnant que la société française Valgrine se soit lancée dans la réalisation de putter d'exception ! Les amateurs fortunés comme les joueurs professionnels possèdent des séries faites sur mesure. Dans ce cas précis on se concentre sur la fonction. Les clubs sont adaptés à la taille, puissance, niveau de jeu de leur propriétaire, seuls quelques petits détails esthétiques peuvent être personnalisés comme le grip, la couleur des matériaux.
À peu près à la même époque l'année dernière (fin août 2013 pour être précis), je vous parlais de l'exposition consacrée au photographe Norman Parkinson dans l'Espace La Vallée, la galerie de la Vallée Village, le grand centre de magasins d'usines en région parisienne. L'exposition qui a débuté le 20 septembre, rend elle hommage à l’excellence au savoir-faire de nos artistes/artisans de la mode et du luxe à la française. Ne vous pressez pas vous avez encore jusqu'au 12 janvier 2014.