Mesdemoiselles, vous avez plus de 25 ans, vous n'allez pas vous marier cette année, ne partez pas, ce billet vous est consacré. Oui aujourd'hui nous allons parler du sujet douloureux d'une tradition française, les Catherinettes, mais à la manière soblacktie, sinon aucun intérêt.
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Catherinettes & Co-branding
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Elle, tellement parisienne.
Quand je suis à Paris, je ne peux m'empêcher d'observer toute cette agitation féminine. J'ai la sensation qu'avant d'être "rive droite" ou "rive gauche", ces femmes sont avant tout parisiennes.
Il n'est pas difficile de les imaginer discutant et prenant une collation à la terrasse des grands cafés, cachées derrières leurs lunettes de soleil, futiles, légères...
Je repense à cette jeune femme, croisée sur le parvis du musée d'Orsay, elle avait fière allure, une allure fière mais naturellement élégante dans sa robe noire. Sans le vouloir, sans la suivre, nous avons enjamber tous les deux la Seine sur le pont Royal, traverser le jardin des Tuileries. Des images plein la tête de son charme parisien. Oui, j'étais hypnotisé par l'ensemble harmonieux qu'elle formait avec sa robe. Sous influences actuelles et passées, quand moderne et chic se donnent la main. La rattraper, lui prendre la main et lui sourire. Elle se retourna et passa la main dans ses cheveux.
Nous remontons la rue de Castiglione sous les arcades, nos reflets dansant de vitrine en vitrine. Elle décide de tourner dans la rue Saint Honoré, artère mode où s'affronte l'ostentatoire et la discrétion. Elle est arrivée, elle sonne et entre, la porte se referme sur elle, emportant sur son passage ce mystère, son mystère. Disparue, mais pas son parfum qui flotte dans l'air au numéro 72, je détaille les noms inscrits sur la plaque en laiton. Chavernet Paris... La reverrai-je un jour ?
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Les délices d'initié(e)s.
Monsieur le président, j'avoue je suis coupable, oui j'entretiens toujours une liaison avec les magazines les plus beaux. Le papier glacé me fait fantasmer. Je suis toujours en admiration devant leurs photos. J'ai ce petit frisson pour les maquettes les plus élégantes. Oui monsieur le président je suis un fétichiste du magazine de luxe et de mode.
Vous ne pouvez pas comprendre, quand je l'ai vu pour la première fois, je savais qu'un jour j'aurai une aventure avec lui, je ne savais pas quand, mais un jour cela arriverai. Je déambulais entre les rayonnages quand je l'ai vu, tellement longtemps après avoir fantasmer et rêver de lui pour la première fois (nous sommes bien d'accord, je suis hétéro !!!). Il se cachait mais je sentais sa présence. J'ai fouillé et je l'ai trouvé.
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70 dans le vent
Élégant, éclatant, noué autour de ton cou et flottant dans le vent quand tu remontes les Champs ou lors de nos week-end en Italie. Il ne te quitte jamais. Quelques fois tu me le confies, je le prends dans mes mains, je le respire, imprégné de ton parfum (une fragrance qui m'obsède, Jungle ?!). Alors je le porte, nos parfums se mélangent...
Il flotte encore au vent, nos regards se croisent, nos sourires. Touche de couleur, de féminité, à chaque femme le sien. Quand il pend à ton cou et que je l'attrape c'est pour mieux me rapprocher de toi. Tu portais le nouveau "Carré" Hermès 70. -
Désir, plaisir et papier glacé. 16 ans et (+) Seulement
Nous parlions avec monsieur T de notre passion pour les beaux magazines, je ne sais pas pourquoi le souvenir de cette discussion m'a traversé l'esprit ce soir. 00h24, les enfants sont couchés, je peux donc vous révéler le nom d'un des magazines évoqués lors de cet après midi farniente, piscine et réflexions, nos verres d'eau minérale à la main.
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Les suédoises à Paris
En réflichissant à un thème pour le post du jour, ma mémoire a décidé d'être clémente avec moi, des souvenirs de l'année 2004 on refait surface, oui il y a déjà trois ans.
Quel rapport entre mes souvenirs, l'année 2004 (une année pas très érotique) et l'univers Blacktie et bien c'est en décembre ou novembre 2004 que j'ai par l'intermédiaire de mon ami photographe, rencontré deux jolies suédoises, Lovisa et Kajsa, créatrices de la marque de pap "burfitt". J'ai le plaisir de vous montrer des photos de leur prochaine collection automne hiver 2007. Ne demandez pas l'adresse de leur atelier, je la garde secrète.