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Dans la série des expos auxquelles je ne pourrais pas assister, je vous en propose une du côté de Paris. Je pense à vous pour que vous puissiez enrichir vos sorties autrement que par des après-midi shopping, cela ne vous fera pas de mal en ces périodes de frénésie "shoppingnesque". Invitation que j'ai reçue par l'intermédiaire de Be Capricious. Amusez-vous bien et j'attends vos retours. @ +++
Expos du 21-12-2007 au 12-01-2008, infos : www.peepingtomgalerie.com
C'est un code pour les initiés... Depuis le départ, je pensais orienter mon blog sur une thématique mode. Sans jamais vraiment prendre le risque de m'exposer en matière de style. Il m'arrive régulièrement de commenter sur les blogs tendances, de laisser mon avis sur la mode. Je ne vais pas jouer les stylistes, je ne vais pas poser non plus, vous savez faire cela mieux que moi. Mais il est temps de vous parler des mes goûts vestimentaires.
En fouinant un peu à droite à gauche, je suis tombé sur ce vélocipède. Comme si les vélos de la station de vélib' de la rue Cambon avaient été transformés dans la nuit par le grand magicien Karl Dumbeldore (Lagerfeld). Avouons que ce vélo à beaucoup d'allure et se mérite. Le black vélib de l'élite fashion. Un prix à ce cadeau, 8900 euros, pour vous donner une idée d'équivalence de prix, vous pourriez vous acheter le nouveau yamaha 500 t-max. Faites votre choix. Non vous ne rêvez pas vous avez sous le yeux le vélo Chanel.
Le toujours très attendu Numéro Homme est arrivé dans ma magazinothèque depuis quelques semaines. Faisons un tour ensemble.
Côté lecture, de bons articles pour parfaire sa culture mode et artistique. Philip Utz nous relate son entretien avec M Empire, le bien prénommé Giorgio (comme mon grand-père, c'est un détail pour vous...). Je suis de plus en plus attaché à cet homme, je lui trouve beaucoup de qualité, une certaine franchise, du charisme, de la tenue (elle ne fait pas toujours naturelle, le débat n'est pas nouveau... enfin Giorgio mène son empire où bon lui semble avec beaucoup d'élégance dans un mélange de faste et de discrétion. Un portrait-entrevue contemporain réalisé par Olivier Joyard, du célèbre artiste-contemporain-réalisateur Julian Schnabel, quel force... Moi je pose une question, les réalisateurs ne sont-ils pas des artistes contemporain ? Le cinéma est bien un art contemporain, non ? Un détour effectué par Constance Rubini sur les créations du designer Pierre Paulin, trop seventie's pour moi. Le regard emprunt de mystère de Pascale Renaux sur la Maison Martin Margiela et son invisible directeur artistique (qui est il ?) rachetée par Renzo Rosso (M carburant, diesel pour celles et ceux qui ne savent pas). Pour finir ce tour de Numéro, un voyage littéraire et photographique à Kuala Lumpur. Marie Lefort au texte et Mario Palmieri derrière son appareil. Un joli duo pour finir en beauté. Je ne vous dévoile pas tout sinon... Ah si, le grand, le seul, l'unique Tom nous parle, buvez ses paroles
Série mode par : Légende by Liz Collins. Blacktie euh pardon Cravate noire par Camilla Akrans, on dirait qu'elle m'a volé mes idées, superbe. Mirage par Jean-Baptiste Mondino, un contraste avec la série noire. Balade par une nuit de Pleine Lune par Miles Aldridge. Une autre très belle série (à mon avis), the Hunter par Greg Kadel. Les ateliers par Collier Schorr, une première pour moi avec ce photographe enfin je crois. Silent Witness par Monsieur KL, ambiance Transylvanie. Twenty-one and a stereo par Daniel Jackson. Une série qui fera monter la température chez vous mesdemoiselles, Frozen Margharita par Matthias Vriens. Pour finir, Gang par John Balsom.
Élégant, éclatant, noué autour de ton cou et flottant dans le vent quand tu remontes les Champs ou lors de nos week-end en Italie. Il ne te quitte jamais. Quelques fois tu me le confies, je le prends dans mes mains, je le respire, imprégné de ton parfum (une fragrance qui m'obsède, Jungle ?!). Alors je le porte, nos parfums se mélangent...
Il flotte encore au vent, nos regards se croisent, nos sourires. Touche de couleur, de féminité, à chaque femme le sien. Quand il pend à ton cou et que je l'attrape c'est pour mieux me rapprocher de toi. Tu portais le nouveau "Carré" Hermès 70.
Je suis assez surpris de voir que le numéro de septembre de Numéro est déjà disponible, je vais pas cracher dans la soupe mais j'étais habitué à le trouver dans la dernière semaine du mois en cours pour le mois suivant. Enfin moiiiii, je me compreeeeeennnnds.
Comment combler toutes ces absences, tous ces vides. Je ne supportais plus de bronzer sur ce bain de soleil, de passer mon temps seul. Je ne sais pas si c'est ce léger vent d'est qui dévoilait un parfum que je ne connaissais pas. Un parfum qui m'a fait comprendre que je ne devais plus rester ainsi.
Je suis rentré dans la maison, les volets sont fermés mais il fait lourd, j'ai chaud et je me fais violence, mon sac de voyage posé sur le lit je le remplis, toujours mes pulls en cachemire, le bleu marine et le chocolat, ma cravate orange et ma chemise en soie, mes mocassins, un jean, ma trousse de toilette. Je voyagerais léger. Je ne vais pas loin, mais j'ai le sentiment de partir pour faire le voyage de ma vie, comme si tout allait changer. Je me sens déjà plus près.
Faire une virée dans le sud, longer le bord de mer jusqu'au rocher, les corniches qui serpentent au dessus des flots, la french riviera, "la villa la ligne droite" à St Jean Cap Ferrat. 3 jours et deux nuits avec... (sac de voyage Berluti, modèle 2 jours, disponible aussi en modèle 3 nuits). Post écrit avec le morceau "Rayons du soleil" par Cordclub.
