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Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, je suis vraiment désolé de ne partager cette information avec vous qu'aujourd'hui, mais j'ai contribué avec deux charmantes blogueuses, Sarah Babille et Marilyn Choo à la réalisation d'un article dans le cadre du Salon International de la lingerie de Paris. Nous vous y proposons nos sélections et nos préférences en matière de lingerie pour les saisons 2011 à venir.
D'un côté nous avons les filles qui sont sous l'emprise d'une double hystèrie collective que nous appellerons soldes et collections du printemps prochain. De l'autre l'hiver est qui lui est encore bien là quoi qu'on en dise. Messieurs, nous qui avons un raisonnement plus rationnel, j'ai envie de partager avec vous ma petite envie du moment.
Au mois d'avril de cette année, je vous avais présenté les créations de Rebecca Schiffman, une ligne de bijoux assez surprenante à base de maille métallique et précieuse, des manchettes, des colliers, même une côte de maille à porter sur une robe. La bonne nouvelle de cette fin d'année, c'est que Rebecca vient d'ouvrir son site de vente en ligne et que vous aurez 20 % de remise sur toutes les créations avec le code ARTHUR. Je crois que c'est un bon plan pour les fêtes. A vous d'en profiter. Le e-shop de Rebecca est ici.
L'avantage quand l'information vient à vous, c'est que nous sommes libre d'en parler et là ma réaction n'a pas été celle que j'aurais dû avoir normalement. J'ai jugé les photos avant de m'attarder sur le contenu. Et finalement les vêtements m'ont marqué eux aussi. Découvrons les créations de Lamija Suljevic.
Première journée de fashion, premier vrai défilé en conditions réelles et je dois reconnaître que c'est vraiment très excitant, autant de personnes, d'effervescence, de looks, extravagants, décalés, chic, élégant, chacun y trouve sont compte. Grâce à ce cher James Bort, j'ai pu me rendre au défilé de Manish Arora (créateur indien) qui prenait place Salle Wagram. Quelques photos du défilé et aussi mes premières recherches de streetstyle.
L'hyper réalisme en peinture me laisse sans voix et quand on a eu des cours de dessin pendant un certain nombre d'années, comme moi, on est capable de mesurer la quantité de travail que cela représente, alors quand Anna Halldin-Maule combine iconographie mode et érotisme très présent dans un travail proche de la perfection quasi (photo)graphique, je me sens obligé de partager ces quelques images avec vous.