Sans aller dans de trop grandes considérations éthiques et écologiques, le luxe depuis longtemps nous pousse à envisager l'acte d'achat différemment. Je sais que pour un même prix nous pouvons avoir différentes typologies d'acheteurs mais une chose est certaine, le service sur mesure des grandes maisons permet d'envisager le futur et le long terme avec plus de facilités. J'en veux pour témoin cette création de la maison Aubercy.
pampilles
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Une réflexion écolo-chic sur le sur mesure, mocassins Aubercy Sixte
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L(M)es plus beaux mocassins du monde ? Aubercy Solal II
Les hommes sont des femmes comme les autres et oui nous pouvons avoir la passion des belles chaussures et des beaux souliers. Depuis que je suis proche de la maison Aubercy et aprsè avoir fait plusieurs visites dans le "temple" au 34 de la rue Vivienne - Paris, temple oui, car je suis entré en religion, je me suis dévoué au culte du Dieu Solal, le plus beau mocassin du monde (pour moi)...
All men have a feminine side, and we too can be passionate about beautiful shoes. Ever since I got close to Maison Aubercy and crossed the threshold of their temple on 34 rue Vivienne - Paris, yes, I call it a temple - I have entered the priesthood and I am devoting myself to the God Solal - the world's most beautiful loafers (in my opinion).
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Mon envie du moment - I just want it ! Solal II loafer, Aubercy
Les mocassins "simples" ont rythmé presque toute ma vie de collégien, non je ne j'ai pas passé ma scolarité en Angleterre ou ou même dans un établissement américain mais c'était une chaussure pratique et élégante pour l'adolescent que j'étais. Il faut le dire, ma mère avait sûrement influencé et surtout financé la première paire et les suivantes. Aux sorties du collège je les ai abandonnées et ne sont revenues dans mon "shoesing" que récemment. Par goût mais aussi depuis ma toute première rencontre avec la maison Aubercy, j'ai envie de passer le cap au dessus... le loafer à pompons !
« Simple » moccasins did rhythm most of my time in junior-high, no I didn’t do my scholarship in England or even in an American establishment, but it was a practical and elegant pair of shoes for the teenager I was. Surely my mother did influenced me, and paid for the first pair and the coming. Growing up I did abandoned them, and they came back in my “shoesing” quite recently. By taste but also since my very first meeting with Aubercy house, I’d like to move forward another step beyond… a loafer with pompom !