À plusieurs reprises sur le blog je me suis étonné de la récupération des codes du luxe, de la mode, détournés par des artistes contemporains pour produire des œuvres où la guerre, la violence, la mort n'étaient jamais très loin. En découvrant ce matin le travail de Magnus Gjoen, un artiste londonien d'origine norvégienne, ma perception des choses s'est remise dans le bon sens, cette attirance pour le morbide, existe depuis la naissance de l'art, c'est simplement que les supports, les codes et les appréciations que nous pouvons en faire changent avec les époques !