Saviez-vous que la Monnaie de Paris a été fondée en 864 ? Je ne le savais pas, et cela fait d’elle la plus ancienne entreprise dans le monde ! Depuis que je m’intéresse aux grandes maisons de tradition et du luxe, je me suis posé un certain nombre de fois cette question, à savoir qu’elle était la plus vieille « marque » en France et dans le monde. Oui, 12 siècles que la Monnaie de Paris cultive son savoir faire et possède un héritage inégalable dans les métiers d’art liés au métal. Des générations d’ouvriers d’art ont préservé, l’excellence de sa technique, perfectionnée au fil du temps d’artisanat pour arriver aujourd’hui au label « Entreprise du Patrimoine Vivant ». Des qualificatifs élogieux qui nous permettent d’arriver à notre sujet du jour, la dernière création de la Monnaie de Paris pour sa collection « Excellence à la Française », une pièce exceptionnelle imaginée avec la maison Sèvres - Cité de la céramique.
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Excellence à la Française par la Monnaie de Paris, édition 2015
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Caviar Kaspia, maison française et poupées russes !
Ne vous étonnez pas si dans les semaines qui viennent, les produits d'épicerie fine et les produits rares se font de plus en présents sur Soblacktie, le mois de novembre étant là, le compte à rebours pour Noël est engagé. Incroyable, alors que l'été était encore là il y a seulement quelques jours. J'ai un peu de mal avec l'automne qui devient de plus en plus aux abonnés absents ! Mais avec les fêtes arrivent les mets de choix et la maison parisienne Caviar Kaspia nous présente une nouvelle et inédite collaboration avec la maison Capernet, fabricant de Porcelaine de Limoges.
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L'art, le luxe, la violence, la mort par Magnus Gjoen
À plusieurs reprises sur le blog je me suis étonné de la récupération des codes du luxe, de la mode, détournés par des artistes contemporains pour produire des œuvres où la guerre, la violence, la mort n'étaient jamais très loin. En découvrant ce matin le travail de Magnus Gjoen, un artiste londonien d'origine norvégienne, ma perception des choses s'est remise dans le bon sens, cette attirance pour le morbide, existe depuis la naissance de l'art, c'est simplement que les supports, les codes et les appréciations que nous pouvons en faire changent avec les époques !